Marxisme, matérialisme et lesbianisme: le cas de la transitude
06.05.2024 18:15 – 20:00
Depuis une quinzaine d’années, se sont développées de nombreuses théorisations des conditions des personnes trans utilisant un cadre théorique matérialiste et féministe.
Ce cadre emploie, soit exclusivement soit en les combinant, des outils issus de trois des principaux courants féministes qui se sont revendiqués de la tradition matérialiste inaugurée par Marx: le féminisme matérialiste, le lesbianisme radical qui en est en partie issu, et le féminisme marxiste. Cette intervention présentera ces différentes innovations théoriques dans les études féministes de la transitude, leurs implications politiques, et discutera des capacités respectives de ces trois courants à conceptualiser la transitude.
Lieu
Bâtiment: Uni Mail
MR070
Organisé par
Institut des études genreIntervenant-e-s
Pauline Clochec, Maîtresse de conférences en philosophie morale et politique à l'Université de Picardie, chercheuse au Centre Universitaire de Recherches sur l'Action Publique et politiqueentrée libre
Plus d'infos
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Fichiers joints
 | A5_cycle_conf_etudes_genre_060524.pdf | 1.07 MB |
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